vendredi 14 août 2009

J-6 - Zorbec le Gras

Photo Badseed Creative Commons 3.0

Kazantzákis : « Je n'espère rien, je ne crains rien, je suis libre. » 
en grec dans le texte :
 « Δεν ελπίζω τίποτα. Δεν φοβούμαι τίποτα. Είμαι ελεύθερος. »

C'était dans les années 70 environ, à quelques grammes près. Pierre Dac nous abreuvait de ses délires sur France-Inter. Avec l'adjudant Tifrice, le professeur Slalom Jérémie Ménerlach, le colonel Hubert de Guerlasse et tant d'autres, ils ont fait le bonheur des auditeurs à l'heure du midi avec l'opétation Tupeutla, concernant les plans du Biglotron. Avec également Raoul et Raphaël Peauderche, Wilhlem Fermtag, Nicolas Leroidec (sérieux, j'invente pas, toute analogie, etc. etc...) ou encore Dorothy Devô. Ceux avaient une pêche d'enfer, sous la haute bienveillance de Pierre. Vous imaginez le tableau ??? !!!!! Enorme à l'époque, c'était après le jeu des mille francs avec Lucien Jeunesse, notre internet d'alors.... on était tous collés à notre TSF à l'heure du pousse-café.

Bon, un p'tit coup de Biglotron et hop, nous revoilà en 2009.

Il revient en force cette année, sur le caillou aux moutons où il faut se laisser tenter par le ragoût d'agneau cuit sous la motte (comme son nom l'indique) ou encore la Silzig (saucisse fumée). C'était notre rubrique gastronomique (je sais, un peu court, on y reviendra plus en détail d'ici J, j'en fais la promesse).

Il revient donc, par l'entremise du 11e SILI. Programmé le vendredi 21 août, en concurrent frontal de numér'île, Nikos Kazantzákis, l'auteur de Zorba le Grec fera l'objet de toutes les attentions : conférence dédiée à l'auteur en parallèle aux débats sur le numérique.

Un coup d'oeil chez Wikipédia pour nous rafraîchir la mémoire : 
Níkos Kazantzákis (en grec Νίκος Καζαντζάκης) ou improprement, Kazantzaki, est un écrivain grec né àHéraklion, (Crète) le 18 février 1883 et décédé le 26 octobre 1957 à Fribourg-en-Brisgau (Allemagne). Penseur influencé par Nietzsche et Bergson, il a également adhéré au marxisme et au bouddhisme, tout en étant profondément chrétien. Journaliste envoyé comme correspondant dans diverses régions du monde, notamment pendant la Guerre d'Espagne pour le quotidien Kathimeriní, il a par ailleurs exercé à diverses reprises des fonctions officielles en Grèce, notamment en organisant le rapatriement des centaines de milliers de réfugiés micrasiatessuite à la révolution russe de 1917 et au démantèlement de l’Empire ottoman en 1922 et un bref passage au gouvernement après la Seconde Guerre mondiale. Il fut lauréat du Prix international de la paix en 1950. Il est aussi l'un des instigateurs du renouveau de la langue grecque moderne, la dhimotikí, inspirée des traditions orales (plutôt que du grec ancien) dans laquelle il a traduit de nombreux ouvrages de référence.

Magique, isn'it ? Hop : cmd+C, suivi de cmd+V et le tour est joué. La totale sur :  http://fr.wikipedia.org/wiki/Níkos_Kazantzákis

Bon ben voilà, j'ai fini mon post. Oui, c'est tout pour aujourd'hui, à demain.

Demain, on fêtera un événement tout particulier puisqu'il concerne directement quelques millions de Français.   

SUR-PRI-SE !!!  A - DE-MAIN !

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