Billet de 20 roupies indiennes - photo LLudo creative commons
Dans un article daté du 14 août (vendredi dernier), Oriane Claire monte au créneau. Avant elle, Jacques Attali avait pris sa plume (ou son clavier, qu'importe).
Il s'agit en l'occurrence de dénoncer FERMEMENT le comportement irresponsable et scandaleux des banques.
Je vous invite à consulter l'article d'Oriane Claire ici, sur slate.fr. Il n'y a rien à ajouter... sauf que, comme elle l'écrit en fin d'article : "... seule la pression citoyenne pourra faire bouger les lignes et encore, il est clair que la volonté politique, si elle existe, n'y suffit plus."
SI ELLE EXISTE. Je bondis, je m'insurge : le président des Français n'avait-il pas annoncé qu'il souhaitait "refonder le capitalisme" ? A quoi à servi le sommet du G20 consacré à la finance ? "On" ne cesse de nous envoyer des écrans de fumées pour masquer la réalité. Tout est bon pour divertir le "bon peuple". Allons encore une fois courber l'échine ? NON, assurément.
Allons-nous -enfin- nous mobiliser, nous, citoyens pour dénoncer ces pratiques insupportables, irrespectueuses de l'Homme, outrancières, CRIMINELLES (oui, une femme, une homme au chômage est un être détruit, très difficilement "reconstructible"), pour bouter les élus irresponsables qui ferment les yeux, promettent d’agir, nous mènent en bateau.
NON, c'est assez, organisons-nous. OSERONS-NOUS nous rebeller ? C'est affaire de dignité humaine. Trêve de billevesées, il est temps de bâtir l'Homme du troisième millénaire, débarrassé de ces scories (et de ses scories), réhabilité.
Purifions la vie citoyenne, éradiquons le mal.
Bouttons la finance pestilentielle hors de nos sociétés : c'est le moment.
Cessons de palabrer, de râler, agissons. Agissons pour EXIGER de nos élus qu'ils assument, qu'ils dénoncent et mettent tout en œuvre pour INTERDIRE et BANIR ces pratiques révoltantes, dans nos conseils communaux, nos conseils communautaires, nos conseils généraux, nos régions, notre pays.
Que chacun de nous prenne sa plume, écrive à son maire, à son député, à son conseiller général, à son conseiller régional, à son sénateur.
Il s'agit en l'occurrence de dénoncer FERMEMENT le comportement irresponsable et scandaleux des banques.
Je vous invite à consulter l'article d'Oriane Claire ici, sur slate.fr. Il n'y a rien à ajouter... sauf que, comme elle l'écrit en fin d'article : "... seule la pression citoyenne pourra faire bouger les lignes et encore, il est clair que la volonté politique, si elle existe, n'y suffit plus."
SI ELLE EXISTE. Je bondis, je m'insurge : le président des Français n'avait-il pas annoncé qu'il souhaitait "refonder le capitalisme" ? A quoi à servi le sommet du G20 consacré à la finance ? "On" ne cesse de nous envoyer des écrans de fumées pour masquer la réalité. Tout est bon pour divertir le "bon peuple". Allons encore une fois courber l'échine ? NON, assurément.
Allons-nous -enfin- nous mobiliser, nous, citoyens pour dénoncer ces pratiques insupportables, irrespectueuses de l'Homme, outrancières, CRIMINELLES (oui, une femme, une homme au chômage est un être détruit, très difficilement "reconstructible"), pour bouter les élus irresponsables qui ferment les yeux, promettent d’agir, nous mènent en bateau.
NON, c'est assez, organisons-nous. OSERONS-NOUS nous rebeller ? C'est affaire de dignité humaine. Trêve de billevesées, il est temps de bâtir l'Homme du troisième millénaire, débarrassé de ces scories (et de ses scories), réhabilité.
Purifions la vie citoyenne, éradiquons le mal.
Bouttons la finance pestilentielle hors de nos sociétés : c'est le moment.
Cessons de palabrer, de râler, agissons. Agissons pour EXIGER de nos élus qu'ils assument, qu'ils dénoncent et mettent tout en œuvre pour INTERDIRE et BANIR ces pratiques révoltantes, dans nos conseils communaux, nos conseils communautaires, nos conseils généraux, nos régions, notre pays.
Que chacun de nous prenne sa plume, écrive à son maire, à son député, à son conseiller général, à son conseiller régional, à son sénateur.
Je le ferai. Osons.
N.B : citoyen actif, je suis non encarté, non dépendant d’une idéologie quelle qu’elle soit, mon engagement politique met l’Homme au centre de la vie ainsi que je l’ai clairement exposé dans mon précédent post du 15 août, sur des valeurs. Nous sommes comptables de nos actes.
N.B : citoyen actif, je suis non encarté, non dépendant d’une idéologie quelle qu’elle soit, mon engagement politique met l’Homme au centre de la vie ainsi que je l’ai clairement exposé dans mon précédent post du 15 août, sur des valeurs. Nous sommes comptables de nos actes.
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