mardi 9 mars 2010

Edition numérique : les Flux, enfin ! Crouzet chez Bon


C'est l'info du jour... et la journée sera longue.
Des semaines, des mois de boulot, des idées qui dérangent, une vision qui surprend...



Ils sont là, nous y sommes, ce sont les Flux de Thierry Crouzet, une oeuvre référence pour tenter de comprendre ce qui nous arrive pour et comment on va penser et agir différent...

Que vous aimiez ou détestiez, faites-vous votre proppre opinion, lisez, c'est d'la balle.

C'est chez publie.net et en téléchargement. L'alternative nomade vient tout juste de sortir du chaudron... Elle n'attend que vous, vous ne saviez pas mais vous l'attendiez

En consultation intégrale... ou en téléchargement pour 5 petits euros et demi...du grand art...

Merci François !  Bravo Thierry !

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5 commentaires:

Stan Jourdan a dit…

Tiens ! Et Thierry n'annonce rien chez lui ?

Unknown a dit…

Suis au ski :-)

Stan Jourdan a dit…

Ah bah bravo, en fait on achètes ton bouquin pour te payer des vacances ? ;)

jeanlou bourgeon a dit…

@ Thierry : oui, je sais... so what, ton nomade va irradier, c'est le but ??? Bizz à la smala... Compte sur toi pour l'e-paper...

@Stan : jamais en vacances ??? :-))
A 5,50 euros la bête, va pas pouvoir se payer les 2 Alpes, l'ami Thierry...
Mais c'est le début d'une nouvelle "économie" en tout cas la naissance d'un paradigme qui, là, sous nos yeux, prend forme...

Et puis Thierry il a des potes, les potes y font sa promo, lui a concocté de la matière. Pas toujours les mêmes, c'est un boulot d'équipe.

On te le dit : sortir du consumièrisme avec JOIE...

ebolavir a dit…

Hors sujet du billet, mais ça peut intéresser. Allez voir sur Wikisource: http://fr.wikisource.org/wiki/Wikisource:Scriptorium/Mars_2010#Suppression_massive_de_textes

Gallimard vient de se tirer une balle dans le pied, en abusant de la crédulité des Américains pour faire croire que les auteurs morts à la guerre 14-18 (Péguy par exemple) ne sont pas dans le domaine public, et faire retirer leurs textes du serveur de Wiimedia. Pas "Le Grand Meaulnes", tout le monde sait qu'il est tombé dans le domaine public.